Livres & textes

Floss+Art
Aymeric Mansoux & Marloes de Valk

What does Free and Open Source software (FLOSS) provide to artists and designers – beyond just free alternatives to established tools from Photoshop to Final Cut?
FLOSS+Art is the first book to answer this question. It shows how the value of Free Software lies in its differences and creative challenges, as opposed to out-of-the-box and off-the-shelf solutions; how it allows to work and collaborate differently with computers, and therefore enable different kinds of
art and design.
The Internet - whose infrastructure is based on free software and open standards – is an obvious example of such an adaptable, collaborative artistic medium. « FLOSS+Art » also covers more traditional artistic domains such as graphic and audiovisual design, and how they shift from customer-centric to community-driven work.
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Manifeste du Web indépendant

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Manifeste du Réseau de Résistance Alternatif

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Livret du libre

Le Livret du Libre est une introduction au Libre accessible aux non-informaticiens.
Ce document d’une vingtaine de pages aborde notamment :
Les origines et les bases éthiques et morales du Libre
Le Logiciel Libre et le copyleft
Les raisons pour lesquelles il faut préférer le Logiciel Libre
D’autres initiatives visant à diffuser la connaissance (art Libre, documentation Libre, etc …)
Les menaces sur la libre circulation de la connaissance (DMCA, brevets logiciels, …)
Différents modèles économiques basés sur le Logiciel Libre
Diverses manières de participer au mouvement du Libre.
L’objectif n’est pas de faire un livre de référence permettant de tout connaître sur tous les sujets, mais de faire un petit livret court, accessible, que l’on peut distribuer et faire lire à n’importe qui. Pour chaque thème abordé, de nombreuses références sont données pour ceux qui souhaitent en savoir plus.
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→ 15/01/2014 — Livres & textes Commenter

Culture Libre : comment les médias utilisent la technologie et la loi pour confisquer la culture et contrôler la créativité
Lawrence Lessig

Dans la préface de Culture Libre, Lessig compare ce livre avec un de ses précédents, Code et autres lois du Cyberespace, qui avançait alors l’idée que le logiciel fait effet de loi. Le message de Culture Libre est différent car « son sujet n’est pas Internet en soi. Le sujet en est plutôt ses effets sur l’une de nos traditions, ce qui est bien plus fondamental et plus difficile à comprendre, que ce soit pour les passionnés d’informatique et de technologies que pour les autres, car bien plus importants. »
Lawrence Lessig analyse la tension qui existe entre les concepts de piratage et de propriété intellectuelle, dans ce contexte qu’il appelle « le système législatif désespérément corrompu », et qui évolue dans chaque pays grâce à des entreprises plus intéressées par l’accumulation d’un capital que par le libre échange des idées.
Le livre rend aussi compte du procès qui opposa Éric Eldred (éditeur de livre appartenant au domaine public) à John Ashcroft, qui allongea la durée du copyright de certaines œuvres de 20 ans, et la tentative de Lessig de développer à ce moment-là une loi Eldred, aussi connue sous le nom de Loi d’amélioration du domaine public (Public Domain Enhancement Act ou Copyright Deregulation Act).
Lessig conclut son livre en écrivant que maintenant que notre société évolue en une société de l’information, il faut décider si la nature de celle-ci doit être libre ou féodale. Dans la postface, il suggère que le pionnier du logiciel libre Richard Stallman et le modèle de la Free Software Foundation de créer des contenus disponibles ne sont pas dirigés contre le capitalisme (qui permet à des entreprises comme LexisNexis de faire payer les utilisateurs pour des contenus étant principalement dans le domaine public), mais qu’il faut proposer des licences telles que celles créées par son organisation Creative Commons.
Il argumente également en faveur de la création d’une période plus courte pour le renouvellement du copyright et une limitation de ses dérives, telles que le fait de stopper, pour un éditeur, la publication de l’ouvrage d’un auteur sur Internet pour un but non commercial, ou de créer un régime de licence obligatoire pour assurer aux créateurs d’obtenir des royalties sur leurs œuvres directement en fonction de leurs usages.
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→ 15/01/2014 — Livres & textes Commenter

Du bon usage de la piraterie : culture libre, sciences ouvertes
Florent Latrive

L’ouvrage traite de la propriété intellectuelle, dans tous les domaines : produits culturels, logiciels informatiques, médicaments, découvertes scientifiques, inventions techniques. Il dénonce les abus du droit d’auteur et du copyright, selon lui de plus en plus étendus au seul profit des industriels, et défend l’idée du domaine public et de la culture libre.
Le livre est tout à la fois vendu en librairie et disponible gratuitement en ligne sous forme de licence libre.
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L’entraide un facteur de l’évolution
Pierre Kropotkine

L’Entraide, un facteur de l’évolution (Mutual Aid : A Factor of Evolution) est un essai de l’écrivain anarchiste russe Pierre Kropotkine paru durant son exil à Londres en 1902. La première version française parut chez Hachette deux ans plus tard.
Le scientifique Pierre Kropotkine oppose l’entraide aux théories du darwinisme social sur la sélection naturelle. Selon Kropotkine, le darwinisme social retient principalement le critère de « la sélection naturelle par le plus fort » (Charles Darwin notait aussi l’importance de l’altruisme). Kropotkine critique cette conception restreinte de l’évolution de l’humanité, en posant en détail des exemples du facteur d’entraide dans l’évolution des espèces, dont l’espèce humaine, mais aussi entre groupes humains.
L’entraide est également un terme d’économie politique qui désigne le concept économique de l’échange réciproque et volontaire de ressources et de services au profit de tous. C’est un facteur dans l’évolution de l’espèce humaine. Le concept est très important dans la théorie anarchiste.
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Graphisme en France 2012

Cette dix-huitième édition de Graphisme en France aborde la question des outils et de la programmation dans les pratiques actuelles du design graphique.
Le contexte historique et la description de ce milieu sont exposés par Kévin Donnot, jeune graphiste récemment diplômé de l’École européenne supérieure d’art de Bretagne.
Annick Lantenois, historienne de l’art et enseignante, propose pour sa part une réflexion sur l’importance de considérer la programmation comme un réel enjeu dans les processus de création graphique et dans l’enseignement.
Enfin, Casey Reas et Chandler McWilliams, eux-mêmes rompus à l’écriture de code, présentent une sélection de recherches et de démarches de designers qui conçoivent leurs propres outils et ont intégré cette dimension dans leurs projets.
Extrait de la préface.
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→ 15/01/2014 — Design graphique, Livres & textes Commenter

Code = design
Kevin Donnot

Après plus d’une quinzaine d’années de design graphique conçu sur ordinateur, la technique informatique reste mystérieuse pour la majorité des graphistes et encore peu de praticiens osent mettre les mains dans le cambouis. En leur temps, William Morris et le mouvement britannique des Arts and Crafts défendaient une création graphique intimement liée à la production artisanale et une maîtrise des outils du début à la fin de la chaîne, en réaction à l’industrialisation de la fin du xixe siècle. Morris était à la fois imprimeur, calligraphe, graveur de poinçons et responsable de la composition typographique, c’est-à-dire graphiste.
Comme Morris, on peut constater aujourd’hui une uniformisation de la production graphique. Par ailleurs, la grande majorité des designers utilisent les mêmes outils, créés par la même société (Adobe). L’homogénéisation des outils et celle de la production ne sont-elles pas liées ? Edward Tufte démontre dans The Cognitive Style of PowerPoint que la conception de PowerPoint conduit non seulement à une uniformisation graphique, mais également, dans certains cas, à des décisions aberrantes, prises à l’issue de raisonnements faussés par le logiciel.
Pourquoi, comme William Morris, ne prendrions-nous pas nos outils en main ? Pourquoi ne pas sortir du sentier balisé par Adobe ? John Maeda fut l’un des premiers à revendiquer de nouvelles formes visuelles basées sur le développement de ses propres logiciels. Il fut étudiant de Paul Rand et de Muriel Cooper, cofondatrice du Media Lab du MIT et pionnière de l’expérimentation visuelle numérique. D’autres ont suivi cette voie, comme les typographes de LettError, dessinateurs de caractères génératifs, ou le groupe bruxellois Open Source Publishing qui travaille exclusivement avec des logiciels libres.
Extrait du texte.
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Manifeste pour une Création Artistique Libre dans un internet libre
Roberto Di Cosmo

Dans son manifeste, Roberto analyse et dénonce tous les mécanismes qui mettent en péril la création artistique et la liberté sur Internet. Il montre comment les lois DADVSI et HADŒPI, dictées par une industrie musicale décadente ne résoudront pas les problèmes de cette industrie, car le budget des ménages est limité et la part accordée à la musique est en compétition avec de nouveaux loisirs.
Le plus intéressant est la méthode que Roberto propose pour rémunérer la création artistique. Certes, c’est une licence globale, mais la méthode de répartition des rémunérations est très novatrice et saine. Elle permettrait de faire vivre correctement beaucoup d’artistes et ainsi de stimuler la création artistique. Cette méthode est une répartition selon une courbe concave. Découvrez-la vite en lisant le texte de Roberto… Et faites le lire ou offrez-le à vos amis et à vos élus…
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Confessions d’un voleur
Laurent Chemla

Face à tous ceux qui font de l’internet une gigantesque galerie marchande, une zone étroitement surveillée, et même un danger que les pouvoirs publics veulent brider, Laurent Chemla résiste. Pour lui le Net est d’abord un bien commun au même titre que l’air que nous respirons. Ce qu’il faut avant tout y protéger, ce n’est pas la sensibilité de quelques bonnes âmes mais bien la liberté d’expression, enfin à la portée de tous. Ces Confessions sont donc sa réponse à tous les « dinosaures » qui pérorent sur les « risques » de l’internet sans savoir de quoi ils parlent, juste pour préserver leur monopole de la parole publique. Démontant tous les mythes colportés autour du Net – de la sécurité des paiements au respect de la vie privée en passant par la viabilité des futurs réseaux -, Laurent Chemla remet fortement les discours médiatiques des pseudo-experts à leur place. Demain, l’internet sera libre ou ne sera pas ! Laurent Chemla a 37 ans. Informaticien, il est le fondateur de Gandi, une entreprise dont l’activité est de vendre des noms de domaine. En 1986, il a été le premier Français inculpé pour avoir piraté un ordinateur depuis… un Minitel.
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Cause commune, l’information entre bien commun et propriété
Philippe Aigrain

L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs.
D’un côté, l’extension des domaines couverts par les brevets (molécules pharmaceutiques, variétés végétales, séquences génétiques, logiciels) restreint, pour le profit de quelques multinationales, l’accès à des ressources essentielles telles que les médicaments, les semences et l’information. La concentration des médias – notamment audiovisuels – menace la démocratie là où elle existe.
De l’autre côté, la production et le partage de l’information et des créations sont plus libres qu’avant, et la multiplication des échanges esquisse une société mondiale, diverse et solidaire. Les médias coopératifs, les logiciels libres, les publications scientifiques ouvertes et les autres biens communs réinventent la démocratie.
Comment les acteurs de ces nouveaux domaines peuvent-ils faire cause commune par-delà ce qui sépare les logiciels des ressources biologiques, ou l’art des sciences ? Comment l’information peut-elle servir les biens publicssociaux de la santé, de l’éducation ou de la solidarité au lieu de contribuer à les détruire ?

Quelles alliances peut-on envisager entre les sociétés et les États, gardiens irremplaçables des biens communs épuisables que sont l’eau ou l’air ?
Dans cet ouvrage, Philippe Aigrain analyse les causes et les origines d’une situation paradoxale et les tensions qu’elle suscite. Il propose une politique qui remette les êtres humains aux commandes de ces transformations.
Ce texte est mis à disposition selon les termes du contrat Creative Commons Paternité – Pas d’Utilisation commerciale – Pas de modifications
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Pour un design graphique libre

Blog destiné à regrouper mes recherches pour mon mémoire portant sur les relations entre design graphique et culture libre.